Pour la nouvelle année, Lamia El Fath a rejoint nos équipes.
Jeune avocate, elle est diplômée du Master 2 en Droit de l’Innovation technique de l’Université Paris Sud, du LLM de l’Université de Nottingham et du Mastère Spécialisé Droit des Affaires Internationales et Management de l’ESSEC Business School. Avant d’intégrer notre cabinet, elle a exercé au sein des départements propriété intellectuelle d’un éditeur de logiciel spécialiste de la conception 3D et de cabinets d’avocats.
Voici son portrait chinois.
- Si j’étais un objet…
je serais mon sac à main, c’est mon plus fidèle compagnon. Il ne peut que me ressembler.
- Si j’étais une appli…
je serais PetitBambou, c’est mon rituel matinal pour pouvoir débuter la journée en toute sérénité. Cette application de méditation est dans l’air du temps. Elle fait coexister deux mondes a priori antagonistes… et cela fonctionne.
- Si j’étais une marque…
je serais B-ready qui est très bien pensée. Une marque forte qui interpelle, un peu d’humour et une « pointe » de chocolat : une combinaison qui me plait beaucoup.
- Si j’étais un roman…
je serais « Ce que le jour doit à la nuit » de Yasmina Khadra. D’abord, j’aime beaucoup cet auteur pour la sonorité de sa prose. Dans ce roman Yasmina Khadra nous plonge dans l’Algérie du XXème siècle et nous adresse merveilleusement bien la complexité de l’être et des relations avec l’autre. C’est un roman qui se vit.
- Si j’étais une création…
je serais l’intégration du numérique dans les arts du spectacle. Cela recouvre un grand nombre de techniques (images de synthèse, images 3D ou Pepper’s Ghost) qui permettent de créer des scénographies entre réel et virtuel. C’est fascinant.
- Si j’étais une devise…
je serais « Par le savoir vers la liberté » (per scientiam ad libertatem), la devise de l’ESSEC.
La date de publication de cet article est : 15/02/2017 . Des évolutions de la loi ou de la jurisprudence pouvant intervenir régulièrement, n’hésitez pas à nous contacter pour plus d’information.